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On ne naît pas grosse, un ouvrage de Gabrielle Deydier

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On ne naît pas grosse, le livre qui dénonce avec force la grossophobie :

« Ce qui gêne tant les gens, c’est mon poids : 150 kg pour 1,53 m. Après avoir été méprisée pendant des années, j’ai décidé d’écrire pour ne plus m’excuser d’exister. De là est née cette enquête journalistique dans laquelle j’affronte mes tabous et mon passé, et où je décortique le traitement que la société – professionnels adeptes de la chirurgie de l’obésité, magazines féminins, employeurs –  réservent aujourd’hui aux grosses. »  

La source média référencée est manquante et doit être réintégrée.

Introduction
Chapitre 1. Chris, Staci, la téléréalité et moi
Chapitre 2. L’été où mon corps a muté
Chapitre 3. « Vous n’êtes pas responsable de votre état »
Chapitre 4. L’opération de la dernière chance
Chapitre 5. Le monstre du miroir
Chapitre 6. « Julie Sleeve » et « Marie By-pass »
Chapitre 7. Je me suis mise à vider les placards la nuit
Chapitre 8. « FA » cherche « BBW »
Chapitre 9. Qui veut gagner des millions ?
Chapitre 10. Où sont les gros ?

Le livre est ICI

La video de présentation

L'emission C à VOUS  à regarder ICI

l'emmision Allo Docteur à regarder ICI

Ce jeudi 15 juin est sorti On ne naît pas grosse, un ouvrage de Gabrielle Deydier. Elle y décrit la grossophobie quotidienne qu’elle subit, et revendique le droit d’être grosse et de ne plus être discriminée.

Ces mots introduisent On ne naît pas grosse, paru aux éditions Goutte d’or ce jeudi 15 juin. C’est le premier ouvrage de Gabrielle Deydier, fondatrice du webzine culturel Ginette Le Mag. Elle y relate les humiliations, répétées et variées, qu’elle a subies et qu’elle continue d’affronter.

Discrimination et humiliations

Il y a par exemple eu cette fille qui l’a réveillée en l’insultant et en la filmant dans une auberge de jeunesse :

"'Biggie [la grosse] sur YouTube ! Biggie, biggie, biggie!' Elle pointe son téléphone sur moi, lampe torche allumée. Je suis nue, enfin, j’ai juste ma serviette de bain autour du ventre. Paniquée, je lui somme de se taire. Elle rit aux éclats et continue de m’appeler 'biggie'. Avant de me coucher, j’ai beaucoup bu. J’ai dû ronfler, c’est même sûr, en fait."

C’est encore cette femme qui....

retrouvez l'article de Mélissa Perraudeau ici

Publié par Association GROS le lun 19/06/2017 - 00:00